III) a) Interview avec un graphiste



Dans le cadre de notre TPE, nous avons obtenu un entretien téléphonique avec un graphiste de l‘agence publicitaire Australie (http://www.australie.com/), qui a signé il y a peu de temps une publicité de prévention contre l’inceste, afin de pouvoir obtenir l’avis d’un professionnel sur son métier et sur les publicités préventives.
Nous avons obtenu un entretien avec Bertrand, graphiste dans l’agence qui a accepté de répondre à nos questions.
1)      Avez vous déjà réalisé des publicités préventives ?
J’ai déjà réalisé une publicité pour l’assurance maladie par le passé.

2)      Quelles différences existe-t-il entre une publicité préventive et une publicité classique ?
Une publicité préventive ne cherche pas à faire vendre un produit mais bien à prévenir contre quelque chose. C’est pourquoi nous ne pensons pas nos publicités de la même façon s’il s’agit d’une publicité préventive ou d’une publicité « classique ». Dans une publicité préventive, on cherchera à marquer le spectateur, c’est pour cela que nous faisons généralement du shockvertising lorsque l’on réalise des publicités préventives.

3)      La publicité préventive que vous  avez réalisée a t elle fonctionné ?
Nous n’avons jamais de chiffres précis en ce qui concerne l’impact des publicités que nous réalisons mais apparemment, cette publicité a eu l’impact escompté.

4)      D’après vous,  faut-il mieux se tourner vers le shockvertising ou l’humour si l’ou souhaite réaliser une publicité préventive ?
Pour moi, si l’on veut que la publicité soit la plus efficace possible, il faut que celle-ci marque les gens et donc qu’elle les choque pour qu’elle ait un impact durable sur eux. C’est pourquoi je pense que le shockvertising est la la meilleure solution si l’on désire faire une publicité préventive, même si réaliser des publicités préventives basées sur l’humour est tout a fait viable.

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