La publicité n’est pas nouvelle, car l’on en trouve des traces peintes sur des murs Romains.
Mais la publicité préventive est par contre bien plus récente car apparue véritablement dans les années 1980.
Depuis quelques temps, une nouvelle science permet d’améliorer l’impact de la publicité sur le public, elle se nomme le «neuromarketing ».
Son impact est tel, que son utilisation doit être soumise à des règles et à une éthique car il produit un effet parfois ignoré par celui qui la regarde.
Une publicité préventive a pour objectif de prévenir le spectateur et non de le convaincre d’acheter un produit.
Il s’agit d’un véritable art si l’on défini l’art comme « chacun des domaines ou s’exerce la création esthétique ou artistique » ; car la publicité n’a pas de limite en ses domaines.
Nous avons décidé de choisir le sujet de prévention car nous trouvons ce domaine riche et passionnant, tant par son histoire que par son évolution, allant même jusqu’à conditionner le cerveau humain !
La Publicité Préventive s’inscrit dans le thème consommation et santé car la publicité est un aspect de la consommation et la prévention a pour but de protéger.
Selon la définition de l’art donnée précédemment, notre thème s’inscrit dans la matière arts plastiques et l’impact de la publicité préventive sur le cerveau humain le relie naturellement à la matière SVT.
En quoi la publicité préventive permet-elle de faire de la prévention et quel est son impact sur le cerveau humain ?
Dans un premier temps, nous aborderons le thème de la prévention. Nous verrons les différents acteurs impliqués, et les principaux moyens utilisés et thèmes abordés, dans ce domaine. Puis nous évaluerons l’impact d’une publicité préventive sur le cerveau humain et regarderons comment le neuromarketing rend une publicité terriblement efficace.
